• Voici un questionnaire sur les arbres.

    Sur la première photo : 6 arbres, numérotées de 1 à 6.

    Sur la deuxième photo : 6 feuilles, numérotées de A à F

    Quelle feuille correspond à quel arbre ?

    Et pour les spécialistes de la nature, de quelle espèce sont les arbres ?


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  • img_0749Voilà la photo du moment où le compteur de ma Honda a passé le cap des 200.000 km.

    C'était sur l'autoroute vers Bohan.

    Dans un peu plus d'un mois, le 21 décembre, elle aura 15 ans.


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  • La semaine passée, nous avons fabriqué deux moules : un visage et une main droite, voir mon article précédent <http://moniquedebohan.kazeo.com/spectacles-evenements-et-lectures/cours-de-sculpture-3-moulage,a2622082.html>.
     
    Cette semaine, nous avons donc fait des sculptures d'après les moules. Deux techniques sont possibles : le coulage de terre chaude ou l'estampage. Nous avons appliqué l'estampage, technique qui consiste à appliquer et écraser de l'argile sur le moule.
     
    Voici les différentes étapes avec photos explicatives:
     
    1. On applatit l'argile avec un rouleau à patisserie
    On entoure une boule d'argile d'un plastique. Avec un rouleau on applatit la terre jusqu'à maximum 1 cm d'épaisseur. Comme la surface de la terre s'agrandit mais pas le plastique, il faut de temps en temps décoller le plastique et le remettre en place. 
     
    img_0692
     
    2. On lisse la plaque d'argile
    A l'aide d'une estèque, pièce plate en métal ou en bois, on lisse un côté de la plaque afin que la sculpture soit belle. C'est le côté lissé que l'on mettra contre le moule.
     
    img_0693

     

    3. On place la plaque d'argile dans le moule et on appuie
    On décolle la plaque d'argile du plastique et on la place à l'intérieur du moule, en commençant par les parties les plus profondes (le nez dans le moule du visage). Ensuite, on appuie délicatement sur la plaque pour qu'elle touche le moule. Plus on appuie, plus la sculpture est réaliste. Enfin, on enlève ce qui dépasse des bords.

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    4. Démoulage
    Après avoir laissé sécher pendant une bonne demi-heure, on démoule en tapant sur le moule. Comme mon visage n'était pas encore sec, on ne l'a pas démoulé, mais voici la main:

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    Des photos des sculptures de mon visage sont disponibles dans l'article suivant: <http://moniquedebohan.kazeo.com/edit/evenements/cours-de-sculpture-6-mon-visage-et-bustes,a2667173.html 

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  • Déjà en octobre, le soleil doit percer les brouillards matinaux avant de briller généreusement sur Bohan.

    Voici quelques photos de Bohan, sous le brouillard matinal. La dernière photo montre l'évaporation des derniers brouillards sur un ancien séchoir à tabac.

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  • Ce 21octobre, j'ai observé un couple de mésanges charbonnières qui visitait le nichoir sur le chêne de notre jardin. Chaque mésange est rentrée et sortie plusieurs fois du nichoir, elles ont beaucoup tapé du bec autour du trou d'envol.

    Quand un rouge-gorge s'est approché, la mésange charbonnière a ouvert ses ailes pour menacer le rouge-gorge qui s'est vite enfui : 

     

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  •  img_0647
     
    Nous avons commencé à faire du moulage au cours de sculpture. Le but est de fabriquer des moules, en plâtre, afin de fabriquer des sculptures en argile. Comme le thème de cours est le corps humain, nous avons moulé deux parties du corps : un visage et une main. Et devinez qui a bien voulu risquer son visage pour l'art ?
    Sur la photo ci-dessus vous voyez les moules, ils paraissent être en relief mais ils sont creux.
     
    Voici quelques photos illustrant la fabrication du moulage de mon visage. D'abord on met une bonne couche de vaseline pour protéger la peau, car le plâtre attaque et adhère à la peau.
    Je me suis couchée sur la table, j'ai attaché mes cheveux vers l'arrière pour qu'il ne soit pas sur mon visage. On a mis du plastique en-dessous de ma tête et sur mes épaules. Comme on allait recouvrir  tout mon visage, je respirais par 2 pailles.
    img_0631
    D'abord la prof, ensuite les autres élèves ont enduit une couche de plâtre de moulage sur mon visage, avec leurs mains, protégées par des gants en latex. Le plâtre est à prise rapide et après 15 minutes, il commençait à chauffer. La chaleur a commencé autour de mon nez et a envahi tout mon visage. Une dizaine de minutes plus tard, le plâtre commençait à durcir et refroidissait. Comme la 1ere couche était trop fine, ils ont mis une deuxième couche, qui a aussi chauffé puis refroidi.
     
    img_0633
     
    Pendant tout ce temps, je ne pouvais pas bouger, par parler et je devais bien garder les paupières fermées. Je communiquais avec les autres via gestes de la main. Je suis restée ainsi environ 40 minutes. Ce que j'ai le moins aimé, c'est d'avoir du plâtre sur les paupières et d'être dans un noir profond.
     
    Vient ensuite le moment du démoulage. Le moule collait à ma peau et la prof l'a enlevé doucement, mais j'avais quand même l'impression qu'on arrachait ma peau. Le plus délicat fut de dégager les yeux, quelques cils et sourcils sont restés dans le moule. Malgé tout, j'ai trouvé cela très amusant.
     
    La semaine prochaine, le moule sera sec et on pourra faire des sculptures de mon visage. Pour ceux qui doutent que c'est bien mon visage qui a servi au moule, regardez bien: on voit ma bosse sur le front !
     
    Pour la fabrication d'une sculpture à partir d'un moule, voir mon prochain article <http://moniquedebohan.kazeo.com/edit/spectacles-evenements-et-lectures/cours-de-sculpture-4-estampage-au-moule,a2633156.html >

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  • A l'occasion du week-end du bois 2011, Danièle Tellier guidait une promenade à Orchimont, intitulée "Découverte du bois dans tous ses états, de la reconnaissance des arbres en forêt jusqu'à toutes ses utilisations par l'homme".

    img_0577

    Le départ se faisait à l'église de Orchimont, qui est tout en haut du village. Vous pouvez voir son clocher sur la photo ci-dessus. On peut y voir aussi un très bel arbre (je crois que c'est un chêne) ainsi que le beau ciel bleu. Cette photo résume bien la promenade de cet après-midi.

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    Un peu d'histoire sur Orchimont (tirée du livret distribuée par la guide) :
    Ses origines remontent probablement déjà au 7ème siècle avant JC. Géographiquement, sa position est stratégique car situé sur un éperon rocheux avec des pentes très raides dans toutes les directions, excepté au Nord.
    Environ 200 ans avant JC, Orchimont était un oppidum d'une tribu gauloise.
    Au Xème siècle, Orchimont est la capitale de la Basse Semois, avec un château et des murailles entoure le village, dont on peut encore voir des vestiges dans la fôret.
    Au XIIIème siècle, Orchimont est une ville médiévale prospère.
    En 1331 Jacques d'Orchimont, seigneur du lieu, vend ses terres et c'est le début du déclin d'Orchimont.
    En 1635 la forteresse, estimée depuis toujours imprenable, fut investie par les troupes de Louis XIII, elle fut démantelée et ne se relèvera jamais.
    La route, construite vers 1850, traversa l'emplacement de cet ancien château dont il ne subsiste qu'une tour, dans un jardin privé, photographiée ci-contre.

     

    Après un petit détour pour voir cette tour, unique vestige du chateau, nous avons fait la promenade numérotée 28, longue de 6 km, admirant des restants de murailles mais surtout des arbres, essentiellement des chênes, des hêtres et des charmes. Nous avons fait une petite descente supplémentaire pour voir le pont dit "romain". Nous avons longé le champ des bisons et contourné Orchimont du côté Est.
    Notre guide nous expliquait comment reconnaître les arbres :

    img_0608

    Ce fut une chouette promenade, où j'ai appris un l'histoire de ce petit village qui a un passé si riche. J'en profite pour dire bonjour à 2 promeneurs présents qui sont des lecteurs réguliers de mon blog.

    Le week-end du bois se prolonge encore demain : la menuiserie Noël, à Hérisson, ouvre ses portes, cfr mon article de 2009 <http://moniquedebohan.kazeo.com/spectacles-evenements-et-lectures/week-end-du-bois-2009-visite-de-la-menuiserie-noel-a-herisson,a1448730.html>

    Le programme complet du week end du bois : <http://www.lesroutesdubois.com/fr/week-end-du-bois.html>


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  • J'ai découvert un outil, Google Anaytics, qui permet de récolter des informations statistiques sur les visites de mon blog. Depuis que je l'ai activé, il y a umapstatne dizaine de jours, il y a eu 564 visites.

    Pays des visiteurs :sur la mappemonde ci-contre, les pays des visiteurs (plus le vert est foncé, plus il y a des visiteurs de ce pays)

    La moitié des visites viennent de Belgique, suivi par la France (41 %), puis de très faibles volumes (moins de 5 visites) au Canada, Suisse, Maroc, Danemark, etc.

    Langue des visiteurs : pas de surprise, 87 % sont francophones (plus exactement ont le français comme langue par défaut sur leur ordinateur). Viennent ensuite le néerlandais (6%) et l'anglais (4%).

    En moyenne, 75 % des visiteurs sont des nouveaux visiteurs, contre 25 % qui sont des visiteurs qui sont revenus au moins 2 X. Le visiteur moyen affiche 1,95 page et reste connecté 1 min et 8 secondes sur mon blog.

    Cela me fait plaisir que je suis lue en dehors d'Europe, et j'en profite pour passer le bonjour à mes lecteurs des autres continents.


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  • Voici 3 photos d'une femelle de fuligule morillon, que j'ai photographié au Rouge Cloître, à Bruxelles, il y a 2 semaines.

    Le fuligule morillon est un canard plongeur, qui peut s'immerger pendant 30 secondes sous l'eau et atteindre 7 mètres de profondeur. La femelle a la tête brune et le corps brunatre, tandis que le mâle a la tête noire avec une longue huppe. Ils ont tous les deux l'oeil doré.

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    Voir taille réelle


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  • Voici quelques nouvelles de mon cours de sculpture.
     
    Depuis 2 cours, nous travaillons la forme humaine. Notre modèle est une silhouette en bois articulée, au centre de la photo ci-dessous.
    • La semaine dernière nous avons dû le reproduire sans squelette. A gauche sur la photo, on voit ma sculpture, que j'ai assise sur un fauteuil. Après modelage, j'ai mis une pique en bois au niveau des épaules, mais c'est insuffisant car, après 1 semaine de sechage, il a perdu la jambe gauche et son bras droit se détache.
    • Cette semaine, nous avons construit un squelette en fil de fer, et nous avons ensuite garni d'argile: je trouvais cela bien plus facile car les membres tenaient ensemble. Le résultat, non séché, se trouve à droite sur la photo :
     
    img_0494
     
    La prof a expliqué quelques mots de vocabulaire :
     
    La céramique est un terme général qui comprend 3 notions
    • le matériau utilisé: toujours d'origine minérale, cela peut être de l'argile, de l'émail, de l'oxyde, etc
    • la technique de façonnage : modelage, moulage, tournage, ...
    • le type de production : sculpture (objet à regarder), poterie (dérivé de pot, désigne tout contenant) ou céramique industrielle.

    Dans ce cours, nous utilisons toujours de l'argile. On peut classer les argiles selon la couleur, la température de cuisson et la chamotte (qui détermine la granularité de l'argile), mais par tradition on définit les 3 grandes familles d'argile selon la température de cuisson

    • la faïence, qui se cuit à basse température (maximum 1.150 degrés Celsius (donc pas si bas que cela !))
    • le grès, qui est foncé, qui se cuit à haute température (entre 1.150 et1.300 degrés)
    • la porcelaine qui se cuit aussi à haute température mais qui est de couleur claire.

    La différence entre le grès et la porcelaine est surtout historique, puis qu'elles se cuisent toutes les 2 à haute température. On appelle porcelaine surtout l'argile qui est venu de Chine.


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