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Voici mes plus belles photos du rouge-gorge : dites moi votre préférée:Photo 1Photo 2
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Saint Nicolas est passé dire bonjour aux enfants sages ce vendredi après-midi au Delhaize de Bohan. Il a distribué des friandises.C'est le doyen de Bohan, Paul Danloy, 92 ans, ancien garde-champêtre, qui endosse avec plaisir ce rôle, et ce depuis plus de 20 ans.
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En ce 9ème cours de sculpture, nous avons continué et terminé nos bustes (enfin pour les 3 élèves qui l'avaient commencé il y a 2 semaines) : nous avons achevé les yeux en ajoutant les paupières et nous lui avons mis des cheveux.
Voilà les 3 bustes terminés (le mien est au-dessus). 2 autres élèves ont commencé la semaine passée, je rajouterai leurs bustes la semaine prochaine.J'ai sculpté une 2ème fois mon visage d'après le moule réalisé lors d'un cours précédent (voir article http://moniquedebohan.kazeo.com/evenements/cours-de-sculpture-3-moulage,a2622082.html ): à gauche le premier, qui était déjà trop sec quand on l'a démoulé pour bien terminer les narines, à droite celui d'aujourd'hui.
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Mon calendrier 2012 a pour thème "Les Mammifères" (zoogdieren pour mes amis néerlandophones). Vous pourrez y voir des photos personnelles d'écureuils, chevreuil, sanglier, marcassin, chevaux, lièvre, cervidés, etc.
La plupart des photos ont été prises à Bohan ou près de Bohan. Il est en vente au prix de 7,50 euros , le bénéfice étant pour la Régionale Natagora Semois Ardennaise au profit de la protection de la nature et pour l'achat de réserves naturelles.
Ce calendrier, de format 20 cm sur 10 cm, se pose sur le bureau et offre une page avec une photo par mois.
Si vous en voulez, laissez moi un commentaire ou un mail, je peux le livrer à Bohan ou à Bruxelles ou l'envoyer par la poste (frais d'envoi 1,50 à ajouter).
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Voici le buste que j'ai construit lors des 2 derniers cours de sculpture:
Il n'est pas encore fini : il faut terminer les yeux et sculpter les cheveux, mais je suis assez contente du résultat. Il est un peu plus petit que la taille réelle d'un tête adulte.Pour le construire, nous avons déjà mis 4 heures, parce qu'on le fait étape par étape. Nous suivons les conseils de Philippe Chazot dans son livre "Modelage du corps humain : pieds, main, têtes" aux Editions Ulisse, dont j'ai tiré quelques illustrations dans les photos ci-dessous.On commence par construire un T à l'envers, avec un long cylindre penché légèrement vers l'avant. Ensuite, on rajoute de l'argile à l'arrière du crane, et sur le visage selon la photo à droite. Il faut avoir 2 ovales, un pour le visage et un autre ovale sur le dessus du crâne (qui n'est pas rond mais ovale).Pour qu'on puisse cuire la sculpture, il faut qu'il n'y ait pas trop de matière, et que les surfaces ne soient pas plus épaisses que 1 cm. Donc il faut qu'elle soit creuse. Plusieurs techniques existent : soit on la coupe en deux pour la vider, soit on la creuse par en-dessous. C'est ce que j'ai fait. Ensuite on la rembourre avec du papier journal pour maintenir la forme.
Ayant ainsi la forme générale, on travaille le visage. Sur l'ovale, on trace une ligne verticale au milieu de la largeur, ce sera le centre du nez. On trace un trait sur le milieu de cette ligne. On placera les yeux juste au-dessus de ce milieu. On marque le milieu de la moitié inférieure, qui sera le bas du nez. On recommence encore à prendre le milieu de la partie inférieure pour la bouche (voir shéma général en fin d'article).On creuse les yeux, on fait petits rouleaux d'argile pour les sourcils, des boules pour les pomettes, un boudin pour le nez, la lèvre supérieure, la lèvre inférieure. Pour les oreilles, on place 2 columbins (= rouleaux d'argile) en forme de virgule sur chaque oreille. L'oreille est compliquée à modeler : il faut creuser le conduit auditif, construire le lobe, fignoler l'ourlet du pavillon et puis décoller les oreilles:
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Voici 3 photos de grèbes castagneux, prises depuis l'été.Le grèbe castagneux, pesque sans queue, est le plus petit et le plus rondelet des oiseaux d'eau. Son nom "castagneux" vient de la couleur noisette de ses joues en été.Pour le repérer, le plus facile est d'ouvrir les oreilles car il pousse un cri très strident, ressemblant presque à un henissement pendant la période de nidification. Une fois qu'on l'a repéré, il faut s'armer de patience car il plonge à peu près tout le temps sous l'eau et peut resurgir 10 mètres plus loin.Cet oiseau est relativement peu commun mais nous avons des couples nicheurs sur la Semois, en face de chez nous.Sur cette première photo, prise le 2 juillet, on voit un grèbe castagneux avec 2 petits.Sur cette 2ème photo, prise le 18 septembre, le grèbe castagneux a toujours son plumage estival, et est accompagné de 2 jeunes d'une deuxième couvée.Enfin, cette dernière photo, prise ce 12 novembre, montre le plumage hivernal du grèbe castagneux, beaucoup plus uniforme que le plumage estival.
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Je dédie cet article à Emile LAVAL, habitant de Bohan et membre de la chorale de la paroisse de Bohan.
Emile est né à Porcheresse en 1928 et est toujours resté attaché à son village natal même s'il habitait Bohan depuis plus d'un demi-siècle. Dans les années 1950, il travaillait comme mécanicien dans un garage situé au début de la route de Membre, alors que la poste se trouvait juste à côté. C'est ainsi qu'il rencontra sa future femme, Yvette Tellier, postière.
Ils se marièrent le 12 avril 1954 et habitèrent d'abord sur la place, dans la petite maison qui existe encore à côté de la librairie-papeterie. Ensuite ils achetèrent l'ancienne gare du vicinal, rue de Hérissart où ils tinrent un garage FIAT pendant longtemps. C'est ainsi que la majorité des Bohannais avaient une voiture Fiat.
Retraité, il se consacrait d'avantage à ses passions : les arbres fruitiers, l'apiculture et la musique. Il était d'ailleurs président de l'association "L'apiculture wallone et bruxelloise".
Je présente mes sincères condoléances à son épouse, son fils et ses 2 petits-enfants.
C'est une personne très attachante que nous enterrons ce mercredi. Adieu le Milo...
Voici son avis nécrologique : <http://www.inmemoriam.be/fr/2011-11-05/emile-laval/ >
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Au centre d'art du rouge-Cloître se tient une exposition temporaire sur les Chromos, ces petites images publicitaires, témoins imprimés de notre passé.
Le procédé utilisé est la chromolithographie, autrement dit la reproduction en couleurs de dessins ou de lettrages exécutés sur pierre.
On peut situer la naissance des chromos autour de 1850, quand les procédés lithographiques s'étendent. A l'aube de l'ère industrielle, le besoin d'annonce et de publicité se fait sentir.
Dans l'exposition, on peut voir beaucoup de ces petites images : tickets de tram, cartes à jouer, des fables, des petites cartes publicitaires, etc.
Elles sont aussi données à l'achat de certains produits, c'est un peu les ancêtres des cartes Panini.
Quelques grandes marques se trouvent sur ses chromos, surtout des marques de chocolat et de parfurmerie.
J'y ai vu par exemple Liebig, Suchard ou Nestlé.
Ci-dessous quelques exemples de ces chromos.
L'exposition est ouverte jusqu'au 5/2/2012, les après-midi sauf le lundi et vendredi. Informations sur <http://www.rouge-cloitre.be/agenda/agenda_detail.php?id=43>
Profitez de votre visite pour découvrir le très beau site du Rouge-Cloître <http://moniquedebohan.kazeo.com/edit/visites-et-excursions/visite-guidee-du-site-du-rouge-cloitre-pres-de-bruxelles,a2645621.html >
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Le 1er dimanche de chaque mois, le Service éducatif du Centre d'Art de Rouge-Cloître offre l'opportunité aux particuliers de suivre une visite guidée du site
. J'ai participé cet après-midi.La guide nous a expliqué l'évolution du prieuré, fondé au XIV ème, jusqu'à son apogée fin du XVIème siècle.
La première chapelle fut consacrée en 1369, et le prieuré s'agrandit en construisant des batiments, tels qu'un cloître, un mur d'enceinte (700 mètres de long), une infirmerie, une brasserie, et des maisons. Le prieuré fut occupé par des chanoines augustins jusqu'en 1783, avec des périodes d'épanouissement et une période d'exil (fin du XVIème siècle).
Ci-dessus, la guide montre une gravure datant de 1725, que l'on peut comparer avec la vue d'aujourd'hui. Le plus facile à identifier est le cloître, carré formé par le batiment blanc à gauche, une haie devant et à droite.
Après avoir grimpé un peu pour avoir cette belle vue, nous avons fait un petit tour le long d'une partie des murs d'enceinte, pour voir les traces du moulin, de l'église et du cloître.
J'ai beaucoup aimé la petite maison ci-contre, qui était la maison du meunier, que je trouve très pittoresque.
Au 19ème le site fut morcellé et occupé par différentes industries (laiterie, blanchisserie, filature, etc).
Il faut acheté par l'Etat Belge en 1910 et classé en 1959. Aujourd'hui il abrite un petit restaurant et des maisons d'artistes (ouverts le dimanche après-midi), des bâtiments pour des classes vertes et un centre d'art.
Au centre d'art se tient une exposition temporaire sur les petites images couleurs distribuées aux enfants entre 1850 et 1950 : "Chromos, l'enfance et la publicité". Je l'ai visitée et je vous en parlerai dans un prochain article. Voir <http://moniquedebohan.kazeo.com/edit/evenements/expo-au-rouge-cloitre-les-chromos-l-enfance-de-la-publicite,a2647241.html>
Pour en savoir plus, visiter le site http://www.rouge-cloitre.be/
La visite guidée dure 1 heure et est très intéressante, elle a lieu le 1er dimanche de chaque mois. Je vous la recommande.
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