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La grue cendrée est échassier migrateur de 1 m 20 de hauteur, qui atteint une envergure de 180 à 200 cm. Son cou, son front et une partie des ailes sont noirs, tandis que le corps est gris ardoise. Sur le dessus de la tête on peut voir une tâche rouge, qui est un morceau de peau nue. Son poids varie entre 4 et 7 kg.C'est un oiseau migrateur, qui niche dans le Nord de la Pologne, la Russie et les pays scandinaves mais qui hiverne en espagne et autour de la Méditerranée. Elles se déplacent par grands groupes, en lignes en forme de V, suivant une grue en tête, qui est relayée dès qu'elle est fatiguée. En vol, elle crie une sorte de "kroh" que l'on peut entendre jusqu'à 4 km. Elle vole les pattes et le cou tendus.
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Ce weekend j'ai été avec un groupe d'ornithologues au Lac du Der (en Champagne-Ardenne, entre Paris et Nancy), principalement pour observer les Grues cendrées en migration.C'était formidable, particulièrement au coucher du soleil samedi soir, où nous avons vu des dizaines de milliers de grues venir de toutes les directions, en criant, pour atterrir sur des îlots au milieu du lac, à l'abri des prédateurs. Les ornithologues en ont compté 70.000 sur le lac le samedi soir.Nous avons observé des Grues cendrées, en vol, au sol, au coucher et au lever du soleil, mais aussi d'autres oiseaux, dont 2 pygargues à queue blanche, un faucon pèlerin, des bécassines des marais, un milan royal ainsi que des milliers de cormorans, des oies, des mouettes, des hérons, des grandes aigrettes, des courlis, des canards ...De plus, j'ai découvert cette région, avec ses maisons et églises typiques en pans de bois, et j'ai envie d'y retourner pour mieux la visiter.Pour en savoir plus, allez voir mon album photos Facebook, accessible à tous2 petites vidéos d'ambiance du vol des grues : http://youtu.be/ZQ9dfK-nD2E et http://youtu.be/GSxapVy534M
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Avec Bénédicte et son amie Edith, j'ai passé cette journée anniversaire de l'armistice à Liège, pour y visiter deux expositions consacrées à la grande guerre. "J'avais 20 ans en 14" Dans les vastes locaux d'exposition de la gare de Liège-Guillemins, les différentes salles exposent des objets réels d'époque expliquant l'avant-guerre, les chefs d'armée, la vie des soldats, la médecine, la vie culturelle, les résistants et l'impact de la guerre sur les civils. Des vitrines montrent les objets petits ou grands (uniformes de soldat, matériel chirurgical ou lettres manuscrites), en alternance avec des salles reconstituées en grandeur nature, dont une tranchée très réaliste avec films, bruits d'explosion, etc. On traverse aussi une maison totalement détruite par les bombardements et on voit une réplique de l'avion du célèbre baron rouge.
"Liège dans la tourmente" Au musée de la vie wallonne, dans une ancienne église, l'exposition "Liège dans la tourmente" met en évidence le rôle de Liège dans la grande guerre, expliquant la résistance héroïque pour tenir le plus longtemps possible les 12 forts autour de la ville. On suit une famille aisée liégeoise, avec 7 enfants, dont l'aîné perdra la vie dans les tranchées de l'Yser. Quelques scènes reconstituent aussi des ambiances d'époque : une cuisine liégeoise ou une infirmerie pendant la guerre.
Les 2 expositions se complètent, la première étant beaucoup plus grande avec de plus grands moyens tandis que la deuxième est plus modeste, mais aussi émouvante car on y voit des objets, des photos ou des avis de décès de Liégeois. J'ai une petite préférence pour la 2ème tandis que Bénédicte et Edith ont nettement préféré la première, et en particulier la reconstitution de la tranchée, avec les sons et les lumières, où elles se sont posées la question de leur propre réaction si elles y avaient été confrontées.
20 ans en 14 : fin de la belle époque
20 ans en 14 : avion du baron rouge
20 ans en 14 : maison bombardée
Liège dans la tourmente: vitrine sur Liège au début du 20è (avec orgues dans le fond)
Liège dans la tourmente : objets dans les tranchées
Liège dans la tourmente : reconstitution d'une infirmerie votre commentaire
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Ce matin, le compteur de visites de mon blog a dépassé 300.000.
Je vous remercie pour votre fidélité, grâce à vous, à vos réactions je trouve l'énergie de continuer. J'aime beaucoup quand un lecteur de mon blog m'apostrophe pour m'en parler, que ce soit pour me dire qu'il le lit régulièrement, ou qu'il y a trouvé une idée de promenade à vélo ou bien souvent pour avoir des nouvelles de Bohan.
Un merci particulier à Christina G., à la famille Stas, au mari d'Isabelle, à Christelle, à Dirk, à ma soeur et à ma maman, qui suivent régulièrement mon blog et m'en parlent mais aussi à tous les autres, anonymes.
Un grand merci !
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Ce dimanche 9 novembre 2014, à 10 h 15, le relais sacré est passé à Bohan.Les autorités (bourgmestre, échevins et anciens combattants porte drapeaux) sont arrivés en minibus.Le flambeau a été donné à Paul Danloy, doyen de Bohan, qui a lu le nom des Bohannais morts pendant les 2 guerres :
- en 14-18 : Léon BAILLY, Alcide CAGNEAUX, Joseph TELLIER, P. Eugène HUSSON, Charles HENRY, Emile HUSSON, Raymond PARIZEL, Gaston TELLIER
- en 40-45: Remy DEFOICHE, Paul HENRY de la LINDI, Aimé DELATTE
Après chaque nom, l'assistance acclame "mort pour la patrie".Ensuite, le sonneur de clairon chante un hymne, suivi par la Brabançonne enregistrée sur magnétophone.Finalement, le bourgmestre a lu un petit discours et les autorités sont reparties vers les autres villages de la commune de Vresse.Le flambeau va monter ainsi de village en village pour arriver le 11 novembre à Bruxelles pour la cérémonie à la colonne du Congrès.
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Au bout de la route de Mont-les-Champs paissent des vaches brunes, augmentant encore le côté bucolique de ce splendide coin de Bohan. Depuis l'été, elles ont un nouveau petit compagnon : un sanglochon ou cochonglier, c'est un hybride entre un cochon domestique et un sanglier.Je l'avais déjà aperçu mais il s'était enfui tandis que ce matin, il n'était pas farouche et s'est laissé photographier. Je l'ai longuement observé: il se promène au milieu des vaches, essaie de monter sur le dos des veaux et broute l'herbe. Les vaches semblent le tolérer, mais quand il exégère, elles le repoussent du pied. 1 commentaire
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Hier, j'ai été me promener près de la Grotte de Tiru, qui se trouve au fin fond des bois, près de l'ancienne base de l'OTAN, sur la route vers Sugny. Pour y arriver, il faut suivre la promenade balisée numéro 40, qui passe aussi près du chêne à l'image. On peut aussi y arriver après 5 minutes de marche en partant du tournant de la route (voir la carte ci-dessous). Tiru est le nom du lieu-dit.La grotte fut construite peu après 1950, sur le modèle de la grotte de Lourdes. Hélàs, elle est en très mauvais état, et toutes les statues ont disparu. En 2008 la statue de Marie était encore présente dans la niche au-dessus à gauche. Je vous laisse découvrir son état sur les photos ci-dessous :
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Et voilà des photos des deux familles de cygnes tuberculés de Bohan. Les jeunes ont la taille des adultes mais on les reconnait toujours: ceux qui étaient gris ont encore des plumes grises, surtout sur le cou, et tous les jeunes ont le bec pâle contrairement aux adultes avec leur bec bien orange.
La première photo concerne la famille du pont cassé, avec 6 jeunes : 3 gris et 3 blancs.
La deuxième photo concerne la famille près du pont routier, avec 7 jeunes : 5 gris et 2 blancs. Il y a 1 mois, 1 jeune gris a pris un fil électrique au-dessus de la rue des épeautés et est mort; il reste donc 4 gris et 2 blancs.
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